
CHOC TOTAL EN ALLEMAGNE : 7 CANDIDATS DE L’AFD MEURENT PILE AVANT LES ÉLECTIONS ! | GPTV
GÉOPOLITIQUE PROFONDE (www.geopolitique-profonde.com)
Le 5 septembre 2025 à 12h30, Mike Borowski était en direct sur Géopolitique Profonde pour aborder un sujet extrêmement épineux.
Décès en série de candidats AfD en Allemagne
À quelques jours d’un scrutin local, une vague de décès frappe l’AfD en Allemagne : six à sept candidats meurent en un temps record. Officiellement, il s’agirait de causes naturelles ou de suicide, mais l’accumulation interroge même les plus prudents. Une telle concentration, limitée à un seul parti, défie les probabilités et sème le trouble.
Les conséquences sont immédiates : campagnes perturbées, retraits de candidatures, bulletins à réimprimer. Pour les soutiens de l’AfD, cette série d’événements bénéficie clairement au système, affaiblissant le principal mouvement anti-Bruxelles.
L’AfD reste le seul grand parti allemand à prôner la sortie de l’UE et à rejeter l’euro. Ce positionnement radical la place en opposition frontale avec l’architecture politique allemande. Que plusieurs de ses candidats disparaissent juste avant un scrutin revêt donc une dimension symbolique forte.
La coïncidence temporelle entre les décès et l’élection alimente l’idée d’un ciblage politique. Le récit dominant se fragilise : pour une part croissante de l’opinion, les adversaires du projet européen n’ont plus l’occasion de défendre leurs idées devant les urnes.
La thèse d’un verrouillage politique européen
L’hypothèse d’un verrouillage se renforce. Certains y voient une opération discrète pour neutraliser une menace croissante. Le calendrier — l’été, juste avant le vote — renforce cette suspicion.
Dans une Europe secouée par les crises, les mouvements appelant à rompre avec Bruxelles deviennent gênants pour les élites. Pour ceux qui pensent que la démocratie est vidée de son sens, ces morts ne sont plus des accidents, mais des signaux : contester le système aurait désormais un prix.
Ce soupçon dépasse les frontières allemandes. En France, il résonne auprès de figures comme François Asselineau et Florian Philippot, qui partagent avec l’AfD un discours de rupture totale avec l’Union européenne.
Tous deux rejettent toute réforme interne et appellent à une sortie immédiate. Leur isolement médiatique et institutionnel, notamment pour Asselineau, renforce l’idée qu’ils sont exposés à une menace plus large.
Le spectre d’une contagion en France
L’inquiétude monte en France. Certains craignent que la série allemande ne se répète. Les soutiens de Philippot et Asselineau évoquent un risque pour leurs leaders, jugés trop dangereux pour le système. Leur faible visibilité médiatique est perçue comme une première étape de marginalisation avant une possible exclusion plus brutale.
Dans un contexte où contester l’UE est souvent caricaturé, l’élimination physique devient une crainte crédible. L’affaire allemande est interprétée comme un avertissement adressé aux souverainistes de toute l’Europe.
Dès lors, la politique prend une dimension existentielle : sortir de l’Union européenne ne serait plus seulement un choix idéologique, mais un risque personnel. Le soupçon de complot s’impose dans la narration souverainiste, transformant les décès allemands en alerte pour tout le continent.
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