Après la K-food, la K-pop, c’est au tour de la K-drama d’envahir les écrans du monde entier. À l’image des succès Squid Game, The Glory ou Juvenile Justice, les séries coréennes ont en effet le vent en poupe. La plateforme Netflix a bien senti l’engouement de la jeunesse avec pas moins de 37 séries coréennes produites depuis 2019, selon la chaîne YouTube K-drama Research Institute.
Le géant du streaming a également annoncé qu’ils consacreraient 2,5 milliards de dollars en programmes coréens pour les quatre prochaines années. De quoi voir venir. Si la romance occupe une place centrale, les K-dramas n’en abordent pas moins d’autres sujets importants : l’importance des liens sociaux, le questionnement du capitalisme ou encore des inégalités. Entre esthétique différente des séries américaines et thèmes universels, comment expliquer le succès des K-dramas hors de Corée ? Et que traduisent les séries de la société coréenne ?
Avec :
Un entretien avec Marine Jeannin, correspondante de RFI à Abidjan sur le succès des K-dramas sur le continent africain.
En fin d’émission, la rubrique Mondoblog chez les voisins avec Inès Emprin.
Le blogueur mauritanien Cheikh Aidara nous raconte le destin du typha, une plante souvent considérée comme un fléau qui est devenue un moyen de contrer la montée des eaux.
Ruben Nyanguila dresse le portrait de Paul Kakoma, le dernier artisan de paniers de son village de Tshikenda, à l’est de la RDC.
La blogueuse malgache Tiasoa nous raconte son voyage à Dubaï.
Programmation musicale :
► Fake Love – BTS 4’00
► Lego – Winny.